jeudi 8 février 2007

Des mesures favorables en faveur des retraités ...

De façon générale, il existe entre la France et le Maroc une convention fiscale de non double imposition.
C'est la notion de résidence fiscale qui déterminera si la législation fiscale marocaine s'applique en matière d'imposition: seront considérés comme résidents fiscaux au Maroc les personnes ayant leur résidence habituelle au Maroc.
Les critères rentrant en ligne de compte sont :

la possession au Maroc d'un foyer permanent d'habitation
la présence dans le pays d'intérêts économiques
le fait d'effectuer un séjour au Maroc d'une durée continue ou discontinue supérieure à 183 jours par an.
Le Barème de l'Impôt Général sur le Revenu est le suivant:
- Revenu annuel de 1 à 20 000 DH : exonération de l'IGR
- de 20 001 à 24 000 Dh : imposition au taux de 13 %, avec un abattement de 2600 Dh
- de 24 001 à 36 000 Dh : imposition au taux de 21 %, avec un abattement de 4520 Dh
- de 36 001 à 60 000 Dh : imposition au taux de 35 %, avec un abattement de 9560 Dh
- 60 001 et plus: imposition au taux de 44 %, avec un abattement de 14 960 Dh

Les retraités bénéficient d'une mesure très favorable d'exonération: en plus de l'abattement de 40 % sur la pension versée, ils bénéficient d'un abattement complémentaire de 80% (sur la base des sommes transférées à titre définitif sur un compte en dirhams non convertible).

Le transfert au Maroc de la pension doit être demandé à l'organisme payeur (en France, la CNAV http://www.cnav.fr/) qui en effectuera le virement sur le compte bancaire ou le paiement par mandat au Maroc.

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La folie de Marrakech

« Jusqu’aux années 80, c’était mal vu de vivre à la médina. Ce quartier a une histoire très particulière. Après l’Indépendance, les grandes familles marrakchies quittent les riads pour s’installer en ville et sont remplacées par des habitants venus des campagnes.

Ceux-ci revendent ensuite ces riads à des "promoteurs" qui les rasent pour construire trois maisons à la place. Depuis la fin du Protectorat, on estime que 30 % des vieilles maisons de la médina ont été détruites et remplacées par du béton », explique lucidement un heureux propriétaire de plusieurs riads. Mais le coup d’envoi du boom immobilier local survient en 1999 avec cette mémorable émission de M6, Capital, qui transmet un message simple aux téléspectateurs français : à Marrakech, on peut acquérir un riad de toute beauté pour une bouchée de pain. Suivront ensuite d’autres émissions de télévision et articles dans des revues haut de gamme qui contribueront à positionner Marrakech comme une destination hors normes dans l’inconscient collectif français. C’est d’ailleurs ainsi que naît la mode des maisons d’hôtes. On en compterait aujourd’hui 500 appartenant en majorité à des Français, des Belges et des Suisses. Et, dorénavant, il faut débourser 3 millions de dirhams pour un riad moyen, soit dix fois plus qu’il y a une dizaine d’années.

extraits d'articles publiés par Catherine Graciet et Fahd Iraqi - Le Journal Hebdo

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La jet-set adopte Marrakech

Ainsi, avec un peu de chance, on peut tomber, dans les étroites ruelles de la médina, sur Jean-Paul-Gaultier sortant de son riad ou croiser Naomi Campbell faisant des emplettes dans le souk à côté de Jamâa El Fna. Grâce à un carnet d’adresses bien garni, on peut se faufiler dans une soirée caritative organisée par Jamel Debbouze au Bô&Zine ou encore à l’anniversaire de Puff Daddy au Comptoir Paris-Marrakech. Les fêtards invétérés peuvent se trémousser sur les rythmes endiablés de David Guetta au Pacha, siroter un verre aux côtés de Prince et de Salma Hayek au Theatro, ou encore, bronzer sur un transat en face de la fille Chopard au tout nouveau Nikky Beach. Un portefeuille bien rempli ouvre d’autres portes, bien plus prestigieuses. Au luxueux hôtel Amanjena, on peut entrevoir Brad Pitt et Angelina Jolie ou encore, dîner non loin de Pascal Obispo au mythique restaurant de la Mamounia. Sans parler de l’accès au très sélect Riad Tamahdot du milliardaire anglais Richard Branson où l’on a toutes les chances d’assister à une scène de ménage entre le couple Beckham s’ils sont de passage.

Enfin, les plus nantis des amateurs de belles demeures pourraient bien devenir les voisins de Dominique Strauss-Kahn, des Agnelli, de la famille Hermès ou même de Jacques Chirac ! « Marrakech est très en vogue aujourd’hui. On ne compte pas une semaine sans qu’il y ait une soirée mondaine, un mariage ou un anniversaire réunissant des stars. D’ailleurs, chaque jour, des jets privés se posent à l’aéroport », annonce Omar Jazouli, maire de la ville, avant de poursuivre : « ici, les célébrités sont tranquilles et ne sont pas poursuivies par les paparazzis comme à Saint-Tropez. Elles passent incognito et peuvent faire tout ce qu’elles veulent sans être harcelées

Jacques Schoumakers, avec des extraits d'articles publiés par Catherine Graciet et Fahd Iraqi - Le Journal Hebdo http://www.aywaille1.be/Maroc/jet_set_marrakech.htm

Et vous, qui avez-vous vu dernièrement à Marrakech ?