mercredi 28 novembre 2007

Crédit habitat : Nouvelle formule chez BMCI


BMCI après nous avoir appâté par des taux attractifs, vient de lancer une nouvelle formule de crédit immobilier permettant de financer toutes vos dépenses supplémentaires à l’acquisition : «le prêt habitat plus». Son montant peut atteindre 400.000 DHS, dans la limite de 20% du crédit immobilier accordé, et sa durée de remboursement 7 ans.

Enfin de quoi compenser « le black », mais attention aux amateurs, même si «le prêt habitat plus» vous serait accordé vous allez pouvoir d’en disposer seulement après l’acquisition de votre bien, donc il veut mieux de prévoir une disponibilité financière pour vous acquitter de cette petite partie (de coutume 1/3 de la valeur) lors de la signature de l’acte authentique.

Bien sûr ces conseils n’ont aucune raison d’être, car
« LE BLACK » est strictement illégal et interdit !!!

lundi 2 juillet 2007

S'installer au Maroc pour une meilleure qualité de vie

Mai 2007 Le soleil, la mer et un pouvoir d'achat élevé, le tout à 3 heures d'avion de Paris. Voilà ce qui a convaincu des milliers de retraités français de s'installer au Maroc. Sans oublier une fiscalité particulièrement attractive. Visite guidée...



Le Maroc bénéficie d'une excellente desserte aérienne. De nombreuses compagnies assurent des liaisons avec la France, depuis Paris, Bordeaux, Toulouse ou Marseille. Vols réguliers ou charters, 3 heures suffisent pour être à Marrakech. Apprécier l'art de vivre marocain est à portée de main ! Découvrez les autres avantages du Maroc.

Confort et douceur de vivre
La douceur de vivre marocaine tient avant tout à un climat agréable toute l'année. L'ensoleillement moyen dépasse les 8 heures par jour à Agadir, Fès, Marrakech et Ouarzazate avec une température moyenne de 21 °C. La mer, côté Atlantique et côté Méditerranée, n'est jamais bien loin.
La culture marocaine offre un réel dépaysement... sans l'obstacle de la langue, puisqu'une grande partie des Marocains est francophone. Les stations de radios marocaines émettent de nombreuses émissions en langue française et on trouve les journaux français dans toutes les grandes villes.
S'installer au Maroc est d'autant plus simple pour les Français que cela n'implique aucun renoncement au confort de vie à l'européenne. La richesse géographique du Maroc permet en effet la pratique de tous les sports : le surf et les sports nautiques sur la côte Atlantique, le ski dans la poudreuse du Haut-Atlas, le rafting en plus basse altitude et la randonnée dans la région du Djebel Toubkal ! Citadin stressé ? Les rituels de beauté à l'orientale et le plaisir d'un hammam traditionnel finiront de vous séduire.

Une vie culturelle intense
Le Maroc brille aussi par son dynamisme culturel. De nombreux festivals y sont organisés : Festival des Musiques Sacrées du Monde de Fès, Festival International du Film de Marrakech, Festival des Musiques populaires d'Agadir, Festival de Jazz de Rabat, etc.
Le patrimoine architectural et historique du pays est une inépuisable source de visites, de découvertes et de voyages. A ne pas rater :

  • Marrakech, adossée aux montagnes du Haut-Atlas, avec son souk, ses artisans et ses charmeurs de serpents,
  • Fès, la plus ancienne ville impériale du royaume, ancien centre religieux, avec ses magnifiques portes et remparts,
  • les Gorges du Todra, l'un des plus beaux sites naturels du pays...

Pouvoir d'achat élevé et fiscalité avantageuse
S'installer au Maroc, c'est aussi améliorer de façon significative son pouvoir d'achat. Les prix des logements et des biens de consommation sont en effet très avantageux par rapport aux standards européens.
La politique fiscale est attrayante pour les retraités français ayant élu résidence fiscale au Maroc, c'est-à-dire les personnes habitant plus de 183 jours par an dans ce pays.
Vous bénéficiez en effet :

  • d'un abattement forfaitaire de 40 % sur le montant brut imposable des pensions qu'elles soient de source marocaine ou de source étrangère,
  • d'une réduction de 80 % du montant de l'impôt sur le revenu dû au titre de ces pensions et correspondant aux sommes transférées à titre définitif sur un compte en dirhams non convertibles.

Avis aux gourmets !
La gastronomie marocaine est riche et variée : soupe Harira et tagine de poulet, couscous et tagine de poisson, pastilla aux pigeons, gâteau Chebbakia, cornes de gazelle, thé à la menthe, etc. De quoi se laisser tenter !


Source : LCL

mardi 22 mai 2007

Au Maroc, la ruée sur les riads


A vendre. Riad à rénover à Marrakech dans la médina, 236 m², 118 364 euros. Villa de 110 m² sur 2 000 m² de terrain, à douze minutes du centre de Marrakech, 180 200 euros..." En dix ans, le Maroc est devenu l'une des destinations phare des Français et de nombreux Marocains qui retournent au pays ou prévoient de le faire.

"On voit de plus en plus d'Européens à la recherche de riads à rénover, que ce soit pour eux-mêmes ou pour les transformer en maisons d'hôtes. Mais la médina n'est pas extensible", rappelle Marc Kurpinski, chef d'agence de Savanna Immobilier à Marrakech.

"Entre 1999 et 2002, les prix des riads, à Marrakech, ont été multipliés par trois, déclare Vincent Benvenuti, gérant de la société immobilière Jemaa El Fna Immobilier. En périphérie, le foncier s'est littéralement envolé. Entre 2001 et 2006, l'hectare de terrain a bondi de 10 000 euros à 400 000 euros."
Si les riads les plus grands et les plus fastueux, qui ont fait le bonheur des Européens dans les années 1990, sont devenus introuvables ou dépassent le million d'euros, acquérir une maison traditionnelle dans la médina avec un patio et une fontaine reste encore possible. La surface habitable dépasse alors rarement 120 à 150 m2.
En revanche, une nouvelle offre haut de gamme fait les beaux jours des Occidentaux, en particulier des Français.


"On trouve actuellement des appartements et des villas neufs dans le centre-ville ou dans les quartiers proches entre 750 et 1 500 euros le m2, explique Marc Kurpinski, gérant de l'agence immobilière Savanna à Marrakech. Il faut compter 1 100 euros le m2 pour un riad entièrement à rénover."

Du nord au sud du pays, les programmes immobiliers se multiplient, que ce soit sur la côte Atlantique à Agadir, Essaouira ou entre Casablanca et Rabat, où un vaste projet d'aménagement de la corniche financé avec des capitaux venant du Golfe est lancé.
La première phase de l'aménagement de la vallée du Bouregreg, entre Rabat et Salé, vient de s'achever et le nouveau port de plaisance devrait accueillir 350 bateaux de plaisance dès cet été. "Nous enregistrons actuellement près de soixante transactions par mois", déclare Samir Benmakhlouf, président de Century 21 Maroc, présent sur le marché depuis un an.
Mais c'est peut-être à Fès, ville impériale située dans le nord du pays, que les amateurs de vieilles pierres auront le plus de chances.

"La médina est encore très marocaine et il y a encore peu d'étrangers, relève M. Kurpinski. On assiste aujourd'hui à une véritable renaissance de la ville."


S'il est encore tôt pour ouvrir des maisons et chambres d'hôtes, il est néanmoins possible d'acquérir un riad, non restauré, de 150 m2 pour 80 000 euros.

"Ce n'est pas la surface mais l'authenticité qui détermine le prix, explique Mohamed Soussi Sadoq, notaire à Fès. Or 95 % des maisons situées dans la médina ne sont pas immatriculées." Cette opération, qui prend au moins six à huit mois, doit impérativement être réalisée par un notaire. "Que ce soit à Fès, à Marrakech ou à Tanger, l'acquéreur doit surtout garder les mêmes réflexes de vente qu'à Paris", ajoute-t-il.
Prudence donc lors de la transaction qui doit à tout prix se faire chez un notaire. La législation marocaine prévoit des conditions avantageuses pour les investisseurs étrangers non résidents au Maroc : la garantie de transfert, hors Maroc, des produits de la vente de biens immobiliers sans limite de temps et de montant ; la garantie de transfert, toujours hors Maroc, de la plus-value nette de la cession du bien immobilier. D'autre part, une convention fiscale avec la France permet d'éviter la double imposition.
Ceux qui optent pour le statut de résident fiscal, et s'engagent à passer au moins 185 jours par an dans le pays, bénéficient en sus d'un abattement de 40 % sur la pension versée, et d'une réduction de 80 % du montant de l'impôt dû au titre de leur retraite.
En cas de revente de la résidence principale, et à condition de l'avoir conservée au moins huit ans, les résidents étrangers imposables au Maroc bénéficient d'une exonération totale sur la plus-value। Avant cette date, une taxe de 20 % sur la plus-value est appliquée। Enfin, détail appréciable, il n'existe pas de droits de succession au Maroc



source : LE MONDE 14.05.07

jeudi 8 février 2007

Des mesures favorables en faveur des retraités ...

De façon générale, il existe entre la France et le Maroc une convention fiscale de non double imposition.
C'est la notion de résidence fiscale qui déterminera si la législation fiscale marocaine s'applique en matière d'imposition: seront considérés comme résidents fiscaux au Maroc les personnes ayant leur résidence habituelle au Maroc.
Les critères rentrant en ligne de compte sont :

la possession au Maroc d'un foyer permanent d'habitation
la présence dans le pays d'intérêts économiques
le fait d'effectuer un séjour au Maroc d'une durée continue ou discontinue supérieure à 183 jours par an.
Le Barème de l'Impôt Général sur le Revenu est le suivant:
- Revenu annuel de 1 à 20 000 DH : exonération de l'IGR
- de 20 001 à 24 000 Dh : imposition au taux de 13 %, avec un abattement de 2600 Dh
- de 24 001 à 36 000 Dh : imposition au taux de 21 %, avec un abattement de 4520 Dh
- de 36 001 à 60 000 Dh : imposition au taux de 35 %, avec un abattement de 9560 Dh
- 60 001 et plus: imposition au taux de 44 %, avec un abattement de 14 960 Dh

Les retraités bénéficient d'une mesure très favorable d'exonération: en plus de l'abattement de 40 % sur la pension versée, ils bénéficient d'un abattement complémentaire de 80% (sur la base des sommes transférées à titre définitif sur un compte en dirhams non convertible).

Le transfert au Maroc de la pension doit être demandé à l'organisme payeur (en France, la CNAV http://www.cnav.fr/) qui en effectuera le virement sur le compte bancaire ou le paiement par mandat au Maroc.

Nous aimerons connaître votre avis !
pour plus d'informations rendez vous sur http://www.groupe-savanna.fr

La folie de Marrakech

« Jusqu’aux années 80, c’était mal vu de vivre à la médina. Ce quartier a une histoire très particulière. Après l’Indépendance, les grandes familles marrakchies quittent les riads pour s’installer en ville et sont remplacées par des habitants venus des campagnes.

Ceux-ci revendent ensuite ces riads à des "promoteurs" qui les rasent pour construire trois maisons à la place. Depuis la fin du Protectorat, on estime que 30 % des vieilles maisons de la médina ont été détruites et remplacées par du béton », explique lucidement un heureux propriétaire de plusieurs riads. Mais le coup d’envoi du boom immobilier local survient en 1999 avec cette mémorable émission de M6, Capital, qui transmet un message simple aux téléspectateurs français : à Marrakech, on peut acquérir un riad de toute beauté pour une bouchée de pain. Suivront ensuite d’autres émissions de télévision et articles dans des revues haut de gamme qui contribueront à positionner Marrakech comme une destination hors normes dans l’inconscient collectif français. C’est d’ailleurs ainsi que naît la mode des maisons d’hôtes. On en compterait aujourd’hui 500 appartenant en majorité à des Français, des Belges et des Suisses. Et, dorénavant, il faut débourser 3 millions de dirhams pour un riad moyen, soit dix fois plus qu’il y a une dizaine d’années.

extraits d'articles publiés par Catherine Graciet et Fahd Iraqi - Le Journal Hebdo

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La jet-set adopte Marrakech

Ainsi, avec un peu de chance, on peut tomber, dans les étroites ruelles de la médina, sur Jean-Paul-Gaultier sortant de son riad ou croiser Naomi Campbell faisant des emplettes dans le souk à côté de Jamâa El Fna. Grâce à un carnet d’adresses bien garni, on peut se faufiler dans une soirée caritative organisée par Jamel Debbouze au Bô&Zine ou encore à l’anniversaire de Puff Daddy au Comptoir Paris-Marrakech. Les fêtards invétérés peuvent se trémousser sur les rythmes endiablés de David Guetta au Pacha, siroter un verre aux côtés de Prince et de Salma Hayek au Theatro, ou encore, bronzer sur un transat en face de la fille Chopard au tout nouveau Nikky Beach. Un portefeuille bien rempli ouvre d’autres portes, bien plus prestigieuses. Au luxueux hôtel Amanjena, on peut entrevoir Brad Pitt et Angelina Jolie ou encore, dîner non loin de Pascal Obispo au mythique restaurant de la Mamounia. Sans parler de l’accès au très sélect Riad Tamahdot du milliardaire anglais Richard Branson où l’on a toutes les chances d’assister à une scène de ménage entre le couple Beckham s’ils sont de passage.

Enfin, les plus nantis des amateurs de belles demeures pourraient bien devenir les voisins de Dominique Strauss-Kahn, des Agnelli, de la famille Hermès ou même de Jacques Chirac ! « Marrakech est très en vogue aujourd’hui. On ne compte pas une semaine sans qu’il y ait une soirée mondaine, un mariage ou un anniversaire réunissant des stars. D’ailleurs, chaque jour, des jets privés se posent à l’aéroport », annonce Omar Jazouli, maire de la ville, avant de poursuivre : « ici, les célébrités sont tranquilles et ne sont pas poursuivies par les paparazzis comme à Saint-Tropez. Elles passent incognito et peuvent faire tout ce qu’elles veulent sans être harcelées

Jacques Schoumakers, avec des extraits d'articles publiés par Catherine Graciet et Fahd Iraqi - Le Journal Hebdo http://www.aywaille1.be/Maroc/jet_set_marrakech.htm

Et vous, qui avez-vous vu dernièrement à Marrakech ?